Réinventer l'amour au pluriel
Polyamoureuse c'est l'histoire de Lucile Bellan, une jeune femme mère de trois enfants qui découvre un jour qu'elle peut aimer au pluriel.
D'abord amoureuse d'un homme et d'une femme en simultané, elle passe ensuite plusieurs années à avoir officiellement deux hommes dans sa vie.
Dans cet ouvrage, elle fait en toute honnêteté le récit de son expérience et dénonce bon nombre d'idées reçues et de clichés.
Sans faire de prosélytisme, elle est convaincue que la question du polyamour revêt un enjeu sociétal, voire politique. Ainsi, au fil des pages, elle esquisse une réflexion passionnante sur l'amour, le couple et la famille pour les années futures.
« La vérité, au fond, prend moins de place que le mensonge. »
- Lucile Bellan
" Grâce à la médecine, mon corps est enfin devenu le mien, celui qu'il aurait toujours dû être. Ce fut une nouvelle naissance. "
13 février 2019. Ce jour, pour Béatrice, est une seconde naissance. Il marque le moment où son corps est enfin en adéquation avec celle qu'elle est, celle qu'elle a toujours été - une femme.
Née Bruno, elle a vécu sous cette identité jusqu'à sa soixantaine, conjuguant vie professionnelle et vie familiale comme fils, frère, époux, père, puis grand-père. Cependant, d'aussi loin qu'il se souvienne, Bruno a toujours ressenti une forme de mal-être, d'étrangeté à son propre corps, de différence : au fond de lui, il se sent femme, et sait qu'il est né dans le mauvais corps.
Au lendemain de l'opération qui a changé sa vie, Béatrice commence ainsi le récit de ce long cheminement de souffrances, d'interrogations, de doutes, parfois de désespoir, avant de découvrir, grâce à internet, sa dysphorie de genre, puis de prendre la décision de s'engager dans un processus de transition.
Né d'une volonté irrépressible de témoigner, ce texte généreux montre que la transidentité n'est ni un choix ni une lubie. Il offre un aperçu de ce que peuvent être la transidentité et le parcours de vie des personnes trans et de leurs proches, avec l'espoir, une fois l'esprit et le corps réconciliés, de pouvoir enfin vivre, et s'aimer.
Cet ouvrage est un recueil d'entretiens et de récits de femmes qui toutes s'appellent Françoise. Ce prénom est daté, elles sont toutes nées entre 1945 et 1955. C'est un prénom patriotique qui signifie française : elles sont filles de la victoire, en tout cas de l'espoir. Elles avaient entre 15 et 25 ans en 68, ont connu la libération sexuelle, les débuts de l'union libre et du refus du mariage. Elles ont connu l'avènement de la gauche. Elles se sont mariées, ou pas, ont eu des enfants, ou pas, ont divorcé. Elles ont toutes travaillé, eu des maisons ou des appartements, conduit leur propre voiture... Aujourd'hui, elles ont entre 65 et 75 ans. Elles sont toujours libres. C'est une génération bénie qui n'a pas connu de guerre et quasiment pas de chômage. Leurs témoignages nous parlent avec vivacité, humour, passion et sagesse de leurs parcours, de leur courage, de leurs combats, mais aussi de notre époque et de ses incroyables bouleversements.
Jusqu'où peut-on aller sous l'emprise psychologique et sexuelle d'un homme ?Une emprise, c'est l'histoire d'une jeune femme comme on en connaît tous, enjouée, curieuse et sexy, aux yeux qui brillent à en faire pâlir la lune. Ces jeunes créatures portent en elles l'infini des possibles. Mais cela ne va pas sans provoquer chez certains hommes des pulsions terribles. Ceux-là sont prêts à tout pour s'accaparer un peu de leur magie. C'est ainsi que, sous couvert de désirs, de sentiments et de manipulation, ils vont impunément abuser d'elles, les piller et les avaler. Et lorsqu'ils sont bien certains d'en avoir bu toute la sève et d'en être repu, ils se débarrassent de leur cadavre, sans autre forme de procès. C'est à cette passion destructrice et sans issue que nous convie Elsa Andry, en analysant avec lucidité et honnêteté cette forme de schizophrénie entre plaisirs et destruction, acceptation et révolte, haine et amourUn témoignage d'une grande lucidité qui éclaire sur les mécanismes qui se mettent en jeu dans une emprise amoureuse.
Entre bonheur, déception, attentes et lassitude, une immersion au coeur du libertinage et de l'échangisme moderne.
Faut-il rêver sa vie ou vivre ses rêves ? Le libertinage et l'échangisme apparaissent comme une tendance sociétale récurrente. Les années 1970 ont fait frissonner avec Emmanuelle et Histoire d'O. Plus récemment, la planète s'est enflamme pour Cinquante Nuances de Grey.
La mode des clubs privés non-conformistes, la libéralisation des moeurs favorisée par Internet ainsi que le pornochic ont déghettoïsé le milieu libertin qui reste pourtant mystérieux et constitue une insondable fabrique de fantasmes.
Ce livre-document rassemble seize témoignages de femmes, d'hommes ou de couples en mode séduction qui développent une sexualité originale, à travers des expériences libertines, ou qui en ont, à un stade de leur vie, éprouvé la tentation. En toute confiance, ils se confient à leur interlocuteur, dans un échange libre d'un ton inédit.
Les discussions lèvent le voile sur des pratiques secrètes et pourtant répandues. Tous confient les plaisirs qu'ils ont découverts, leurs attentes intimes, leurs bonheurs et leurs déceptions, jusqu'à la lassitude qui les saisit parfois. Malgré des protestations de franchise, de confiance, d'amour, sautent aux yeux du lecteur les failles de ces êtres en quête de sens, qui jouent avec le feu et souvent se brûlent...
Plongez-vous sans plus attendre dans ces témoignages intimes et découvrez un monde secret mais aux pratiques de plus en plus répandues : le libertinage.
EXTRAIT
Vous semblez être entrés en libertinage comme d'autres entrent en religion. Comment cela a-t-il commencé ?
Antoine : Sur l'oreiller, au moment de faire l'amour, je parlais de plus en plus souvent de mes fantasmes. J'évoquais l'idée de faire des trucs à plusieurs : avec un couple, un homme seul ou une autre femme... C'est devenu assez systématique.
Sonia : Moi, je n'avais pas trop envie. J'avais surtout peur. Je souffrais de complexes. Mais Antoine a tellement insisté que j'ai fini par franchir le pas pour lui faire plaisir. J'ai organisé une surprise en prenant l'initiative de la première fois. Depuis, je me suis beaucoup libérée, mais ce fut une lente évolution.
Antoine : Quand je suis rentré, un soir, Sonia m'a dit qu'elle avait répondu à l'annonce d'un homme seul sur un site internet et qu'ils avaient convenu d'un rendez-vous.
Nous l'avons retrouvé dans un hôtel et nous avons eu une relation à trois.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Docteur ès Lettres de l'Université Paris-Sorbonne, Rodolphe Fouano est journaliste. Il collabore à différents supports dont Challenges et L'avant-scène théâtre où il traite de sujets sociétaux et culturels, en marge de l'art de vivre.
Comme le dit si bien Simone de Beauvoir « on ne naît pas femme, on le devient ». J'ai attendu 53 ans pour devenir celle que je suis aujourd'hui. Un processus long, parfois douloureux mais extraordinaire d'amour, de partage et de soutien.
Ma transition d'homme vers femme, je l'ai choisie du début à la fin, ma particularité étant d'effectuer ce changement du jour au lendemain. Je suis entrée à l'hôpital en tant qu'homme et en suis ressortie cinq jours plus tard en tant que femme.
J'ai l'audace de croire que ce livre pourra aider d'autres personnes dans la même situation, des parents, des proches, des amis. Leur donner une nouvelle vision de ce que les personnes dysphoriques du genre vivent.
Céline Audebeau, bientôt 55 ans, expatriée en Asie depuis 13 ans, je vie seule à Hanoï où je suis PDG d'une usine de 420 personnes.
« Je suis la plus heureuse des femmes, pas une seule seconde je n'ai regretté mon choix. Dans mon parcours, je n'ai connu aucune réticence de qui que ce soit, j'ai conscience d'être extrêmement chanceuse. Cette chance, je l'ai construite au fil des années, il n'y a pas de hasard. Du jour où l'on s'accepte, que l'on apprécie cette nouvelle image, l'on devient invincible. »
Si vous avez déjà la version couverture pamplemousse, ce livre est sa version relookée uniquement et non la suite des C.V.
Si le vagin pouvait parler, quel coup de gueule pousserait-il ? À travers des anecdotes croustillantes de rencontres avec des hommes, l'auteure ressort ses dossiers pour révéler les pensées féminines les plus inavouées. Un livre plein d'humour, écrit d'une plume libérée et assumée.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Serena Davis est une romancière et nouvelliste d'origine bourguignonne, née en 1985. Ses oeuvres, prolifiques et éclectiques, sont les pièces d'un puzzle formant un ensemble littéraire des plus énigmatiques, un véritable projet.
Quand les Anglais débarquent dans nos culottes, c'est la galère ! Une galère aussi vieille que le monde et un calvaire mensuel
(qui revient environ 500 fois dans sa vie de nana).
Le sujet est dégueu, et pourtant, ce n'est que de la science, de la biologie qui permet à l'être humain de se reproduire. Un truc énorme et vital, tant dans notre vie de femme que dans l'Histoire de l'humanité.
Et pourtant, quel paradoxe, le sujet est largement tu, complètement tabou !
Ce livre vous fait la promesse :
- de tordre le coup aux a priori et aux croyances erronées.
- de célébrer la féminité, encore et encore.
- de répondre à toutes les questions : pourquoi ça fait mal ? D'où me viennent ces envies de meurtre ? Suis-je normale ? Est-on obligée de les « avoir » ? Tampons ou serviettes ? C'est quoi la coupe menstruelle ?
Des croyances ancestrales aux ragnagnas expliquées aux garçons, de leur Histoire (avec un grand H) à leur traitement dans la publicité, en passant par la récente prise de conscience écologique qu'elles impliquent, devenez incollable sur le sujet.
Parce que les ragnagnas (il faut cesser d'en douter) c'est un super pouvoir féminin. Girl power !
À PROPOS DE L'AUTEUR