2033.
Une guerre a décimé la planète. La surface, inhabitable, est désormais livrée à des monstruosités mutantes. Moscou est une ville abandonnée. Les survivants se sont réfugiés dans les profondeurs du métropolitain, où ils ont tant bien que mal organisé des microsociétés de la pénurie.
Dans ce monde réduit à des stations en déliquescence reliées par des tunnels où rôdent les dangers les plus insolites, le jeune Artyom entreprend une mission qui pourrait le conduire à sauver les derniers hommes d'une menace obscure... mais aussi à se découvrir lui-même à travers les rencontres improbables qui l'attendent.
Nombre de mythes accompagnent l'univers du métro dans toutes les grandes villes.
Dmitry Glukhovsky en fait un thriller fantastique inoubliable, traduit dans le monde entier, qui s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires.
Comment risque de réagir un robot programmé pour un environnement lunaire dès lors qu'il se retrouve égaré sur Terre ? Un robot peut-il mentir à un procès pour préserver les intérêts de son utilisateur ? Le docteur Susan Calvin, robopsychologue, dialogue avec les androïdes pour faire la lumière sur ces étranges affaires. Et découvre davantage de défauts de programmation chez l'homme que chez ses fidèles créations...
L'assassinat du docteur Sarton à Spacetown jette le trouble dans la communauté. Qui aurait intérêt a faire disparaître celui-là même qui milite pour le rapprochement entre Terriens et Spaciens? Les Médiévalistes, qui ne voient pas d'un très bon oeil la prolifération des robots ? Les Spaciens eux-mêmes, prêts à tout pour conserver leurs privilèges ? Le problème du détective Baley, toutefois, n'est pas seulement de retrouver un meurtrier, mais aussi et surtout d'y parvenir avant son collègue robot R Daneel. Car celui-ci est l'un de ces androïdes au cerveau électronique ultra-perfectionné, créés certes par l'homme, mais qui n'attendent peut-être que l'occasion de prendre sa place...
Partout sur la Terre, les hommes meurent dans leur sommeil ou se transforment en tueurs sanguinaires. Le monde tel que nous le connaissons prend fin, tout comme l'espoir qui animait jusque-là l'humanité. Cependant, une certaine forme de société persiste et s'adapte.
Bien des années plus tard, rares sont ceux qui se rappellent la vie d'avant. Mary, elle, n'a pas oublié. Hantée par les souvenirs de sa famille, de la joie qu'elle a jadis connue, elle n'a d'autre choix que de se conformer à son rôle d'aidante au sein d'un institut pour hommes.
Lorsque l'occasion se présente, elle doit toutefois prendre une décision difficile. Va-t-elle s'accrocher au seul vestige du passé qui lui reste ou tout risquer au nom de l'égalité ?
2034. La station Sevastopolskaya produit de l’électricité qui alimente le métro moscovite, mais la dernière caravane d’approvisionnement n’est jamais réapparue, pas plus que les groupes de reconnaissance envoyés à sa recherche...
Ils seront trois à devoir résoudre cette énigme. Hunter, le combattant impitoyable revenu d’entre les morts, rongé de l’intérieur par les ténèbres ; Homère, qui a tout perdu aux premiers instants de la guerre et projette d’ériger un mémorial à l’humanité disparue ; Sacha, enfin, toute jeune fille qu’ils trouveront sur leur route dans une station où elle a vécu en exil avec son père.
Le talentueux Julien Chatelet nous entraîne dans cet univers dystopique fascinant.
Durée : 12H00
© Dmitry Glukhovsky, 2009 © Librairie L'Atalante, 2011 © et (P) Audiolib, 2020
Les gens ont besoin de héros, expliqua Homère. Ils ont besoin de mythes. Ils ont besoin de voir la beauté chez les autres pour rester eux-mêmes humains. Qu'est-ce que je vais leur raconter ? Eh bien... une légende. Celle d'Artyom. Un gars lambda, comme chacun d'entre eux, qui vivait dans une station excentrée : VDNKh. Je leur raconterai l'histoire de ce garçon qui traverse tout le métro, qui s'endurcit au combat, qui devient un héros et sauve l'humanité. Voilà l'histoire qui leur plaira. Parce qu'elle parle de chacun d'entre eux. Parce qu'elle est belle et simple.
2035. Station VDNKh.
Artyom y est retourné vivre. C'est un héros brisé, obsédé par l'idée que c'est à la surface qu'est le salut de l'humanité. Les Noirs anéantis, un souvenir le taraude, celui de la voix qu'il a entendue sur une radio militaire, deux ans plus tôt, quand il était au sommet de la tour Ostankino avec les stalkers. Aussi, depuis son retour, remonte-t-il quotidiennement à la surface, escalade des gratte-ciel en ruines, pour tenter d'entrer en contact avec d'autres survivants. Tenu pour fou, la risée de certains, Artyom sombre peu à peu jusqu'à ce que l'arrivée d'Homère bouleverse la situation : le vieil homme qui n'a de cesse que d'écrire son Histoire du métro, prétend en effet que des contacts radio ont déjà été établis avec d'autres enclaves...
Ce nouvel opus de la saga traduite en plus de trente langues, adaptée en jeux vidéo et dont l'univers étendu compte pas moins de 60 romans écrits par des auteurs russes et européens, est le point de convergence de toutes les trames narratives mises en place par l'auteur que ce soit dans ses romans ou dans leurs extensions ludiques. Il peut toutefois être lu indépendamment.
Vern est enceinte de sept mois et décide de s'échapper de la secte où elle a été élevée. Cachée dans une forêt, elle donne naissance à des jumeaux, et prévoit de les élever loin de l’influence du monde extérieur.
Mais, même dans la forêt, Vern reste une proie. Forcée de se battre contre la communauté qui refuse son départ, elle montre une brutalité terrifiante, résultat de changements inexplicables et étranges que son corps traverse.
Pour comprendre sa métamorphose et protéger sa petite famille, Vern doit affronter le passé et l’avenir. Trouver la vérité signifiera découvrir les secrets du culte qu’elle a fui, mais aussi l’histoire violente de Amérique qui l’a produit.
C'est désormais sur la lointaine planète Solaria qu'Elijah Baley et R. Daneel Olivaw vont exercer leurs talents d'enquêteurs. Sur ce monde, les hommes n'acceptent plus de se rencontrer physiquement mais se « visionnent » par le truchement de projections télévisées. Or, un meurtre a été commis, un meurtre apparemment impossible puisque aucun Solarien n'aurait assez de courage pour s'approcher d'un de ses compatriotes. Qui plus est, tout semble indiquer qu'un robot est impliqué. Absurde ! Les Lois de la robotique interdisent à ces êtres artificiels de causer le moindre tort aux hommes...
Charley est un humain, mais Charley est un animal apprivoisé. Sur une Terre devenue leur monde d'accueil, les Hoots, des extraterrestres herbivores, ont transformé les humains en montures privilégiées. Charley, jeune garçon sélectionné pour ses mensurations et ses capacités reproductives, est destiné à devenir l'une d'entre elles ; mieux encore, il est entraîné quotidiennement car promis à un futur grand dirigeant, celui qu'il appelle Petit-Maître. Cependant, sa rencontre avec Heron, son père libre et réfugié dans les montagnes, va chambouler son être, ses certitudes, et sa destinée.
Née dans le Michigan en 1921 d'une mère au sens de l'humour acéré et d'un père professeur de linguistique, Carol Emshwiler se considère comme une féministe qui s'intéresse à la perception que les femmes ont de l'homme - elle a ainsi beaucoup écrit sur les hommes.
Couronné par le Prix des libraires et nominé pour de nombreux grands prix en Islande, La Marque est une dystopie polyphonique glaçante de réalisme et terriblement actuelle. Reykjavík, Islande. Dans une société divisée, en perte de sens et de confiance, un test d'empathie, gage de fiabilité morale, est mis en place. Les personnes non marquées - n'ayant pas réussi le test ou refusant de s'y plier - sont petit à petit mises au ban de la société, se voyant refuser l'accès à un emprunt, à certains postes, voire à certains quartiers.
Il ne reste désormais plus que quelques jours avant que le test ne devienne peut-être obligatoire pour tous. Quelques jours déterminants pour Vetur, Eyja, Tristan et Óli, pris dans l'engrenage d'une société divisée, aux règles du jeu explosives. Insécurité, démons du passé, ambitions politiques, addiction, chacun doit lutter, à sa façon, dans une course effrénée contre la montre.
" Il y a longtemps que je n'avais rien lu d'aussi remarquable. Phénoménal. " Skáld
En arrivant sur Aurora, Elijah Baley sait qu'il va au-devant de sa plus périlleuse mission. Il doit découvrir qui a tué Jander Panell, le robot positronique le plus sophistiqué jamais créé, une créature atteignant un degré d'« humanité » inédit. Or, le seul être capable de commettre un tel crime n'est autre que son propre concepteur, le Dr Fastolfe. Fort heureusement pour Baley, R. Daneel Olivaw, désormais l'unique robot humaniforme encore en activité, reprend du service pour le seconder.
Plusieurs décennies se sont écoulées depuis les événements narrés dans "les robots de l'aube". Le docteur Amadiro voue une haine inextinguible à Glardia Gremionis pour avoir fait échouer ses plans de domination de la galaxie. Avec l'aide de Mandamus, un jeune et brillant scientifique, il ourdit à nouveau un plan d'éradication de l'humanité. Pour le contrer, Gladia est toujours assistée de Daneel, le robot humaniforme, et de Giskard, l'androïde télépathe, aux aptitudes nombreuses mais limitées par les restrictions qu'imposent les lois de la robotique. Et leurs choix seront d'autant plus ardus qu'une nouvelle loi, la loi zéro, va faire son apparition...
Rivés à leurs écrans, les agents veillent à la bonne marche d'un monde qui tourne sans eux. Dans des box blindés, dans de hautes tours de verre d'un autre siècle, ils travaillent et luttent pour conserver leur poste, buvant du thé, s'achetant des armes. Tous les moyens sont bons. Ruse, stratégie, violence - guerre totale. Parce qu'il y a pire que la mort, pire que la Colonne Rouge. Il y a la rue, où règnent les chats, le chaos, l'inconnu.
Roman dystopique aux accents kafkaïens, dans la lignée du J. G. Ballard de la trilogie de béton et des oeuvres obsessionnelles de Philip K. Dick, Les agents raconte un monde où l'aliénation du travail est devenue la loi généralisée et machinique en vertu de laquelle tous s'affrontent pour survivre - où la solidarité est une arme à double tranchant.
« UN ROMAN POST-APO PROFONDÉMENT WEIRD ET ÉTRANGEMENT BEAU. »
Gromovar, Quoi de neuf sur ma pile
J'ai trouvé Borne quand l'ours géant Mord est venu rôder près de chez nous par une belle journée couleur bronze. Pour moi, au début, Borne n'était qu'un objet de récupération. J'ignorais quelle importance il aurait pour nous. Je ne pouvais pas savoir qu'il changerait tout. Y compris moi.
2156. Iliane est le reliquat d'une société ébranlée par le réchauffement climatique. La ville, refermée sur elle-même sous un gigantesque dôme, est gérée par une IA et une surveillance généralisée. Mais l'épuisement des ressources grignote les stocks de caméras, et la population s'agite.
Le paisible Sam Deson et la tête brûlée Le Kid se rencontrent à une soirée organisée par les activistes clandestins de l'Ivraisse, où ils découvrent le mythe d'une cité libre : la Cité d'Ivoire. Ils rencontrent aussi Maëlle Swan, qui, à la tête de son escouade, interrompt la réunion dans une violente descente de police.
Chacun à leur façon, par l'enquête scrupuleuse, les tragiques compromissions ou en sautant en catastrophe d'un navire volant, ils vont partir à la recherche de la Cité d'Ivoire. Y trouveront-ils leurs réponses ? Un lieu pour vivre ?
Existe-t-elle seulement ?
Sa passion pour la glace a conduit Jean Krug jusqu'aux terres gelées de l'Antarctique, du Groenland et de l'Alaska. Happé par le virus des pôles, il y retourne chaque année en expédition, comme guide naturaliste, pour arpenter la glace et y présenter ses conférences scientifiques.
Et quand il rentre chez lui, à Lyon, il écrit. Sur la glace, le climat, la révolte et les temps qui changent. La Cité d'Ivoire et son deuxième roman après Le Chant des Glaces, nominé au prix des Utopiales 2021.
Bienvenue dans le futur, ou plutôt dans une multitude de futurs : celui où un savant découvre l'anti-gravité, celui où le plus puissant des ordinateurs se fait clouer le bec, celui où un extraterrestre vient révéler à l'humanité une vérité qu'elle n'est pas prête à entendre... Autant d'événements susceptibles de bouleverser l'évolution de notre civilisation humaine, autant de possibilités de voir nos créations dépasser les limites que nous leur avons imposées. Et si nous n'étions plus maîtres de notre destinée ?
La mère des grandes dystopies
Dans une société où la surveillance de tous, sous l'oeil vigilant de la police, est l'affaire de chacun, le chimiste Leo Kall met au point un sérum de vérité qui offre à l'État Mondial l'outil de contrôle total qui lui manquait.
En privant l'individu de son dernier jardin secret, la Kallocaïne permet de débusquer les rêves de liberté que continuent d'entretenir de rares citoyens. Elle permettra également à son inventeur de surmonter, au prix d'un viol psychique, une crise personnelle qui lui fera remettre en cause nombre de ses certitudes.
Et si la mystérieuse cité fondée sur la confiance à laquelle aspirent les derniers résistants n'était pas qu'un rêve ?
On considère Kallocaïne, publié en 1940 en Suède, comme l'une des quatre principales dystopies du XXe siècle avec Nous (Zamiatine, 1920), Le Meilleur des mondes (Huxley, 1932), et 1984 (Orwell, 1949).
À La Nouvelle-Orléans, devenue un territoire neutre cerné par une guerre de Sécession interminable, Jacqueline ne rêve que d'une chose : laisser derrière elle sa vie de pickpocket afin d'explorer le monde à bord d'un dirigeable.
Une fresque multilingue puissante et colorée, aux parfums d'épices créoles, mêlés de magie vaudoue et de mythologie africaine.
La novella Les Tambours du dieu noir est suivie de la nouvelle L'Étrange Affaire du djinn du Caire.
Ils traversent ensemble l'Atlantique au coeur d'un navire monumental, une ville flottante, brutaliste et vétuste, percée de couloirs sombres, de frontières tacites et d'enclaves invisibles.
Malgré l'usure du monde, malgré la crise de l'information, Catherine Quine a embarqué pour rencontrer celui qui rétablira le contact entre les vieilles industries du cinéma d'Europe et des États-Unis.
Cependant, une insurrection fermente dans le ventre noir du bateau. Une vague d'assoiffés et de laissés pour compte monte inexorablement et pourrait bientôt les emporter à leur tour.
Une belle dystopie jouant dans un même registre que le Transperceneige, tendue et originale. Nicolas Labarre, universitaire bordelais spécialisé dans la narratologie des comics, est déjà l'auteur de plusieurs albums pour la jeunesse illustrée par sa soeur, Amandine Labarre (dont L'Autre herbier chez les Moutons électriques), et d'un essai sur l'histoire de la revue Heavy Metal.
Allemagne, 2025. Britta et Babak ont un business florissant : grâce à des algorithmes, ils détectent sur le net des personnes ayant des envies de suicide et leur proposent une thérapie en douze étapes. Ceux qui sont guéris font un don de leur choix à leur cabinet de coaching psychologique. Quant à ceux qui s'avèrent incurables, ils sont vendus (chèrement) à des terroristes de tout bord. Les choses se compliquent lorsque des ex-candidats (non acceptés pour commettre des attentats) créent un cabinet concurrentiel dans un but plus anarchiste. Dystopie post-démocratique, Coeurs vides est la réponse allemande au Soumission de Houellebecq.
Depuis le début des années 80, un programme ultrasecret de la marine américaine explore de multiples futurs potentiels. Lors de ces explorations, ses agents temporels ont situé le Terminus, la destruction de toute vie sur terre, au XXVIIe siècle.En 1997, l'agent spécial Shannon Moss du NCIS reçoit au milieu de la nuit un appel du FBI : on la demande sur une scène de crime. Un homme aurait massacré sa famille avant de s'enfuir. Seule la fille aînée, Marian, 17 ans, serait vivante, mais reste portée disparue. Pourquoi contacter Moss ? Parce que le suspect, Patrick Mursult, a comme elle contemplé le Terminus... dont la date s'est brusquement rapprochée de plusieurs siècles.
Europe, 1515. Le chaos est général, après que Léonard de Vinci a rallié François Ier, avec une mystérieuse invention qui a détraqué le cours de l'espace-temps, en conséquence de quoi des bulles d'univers alternatifs parsèment aléatoirement le territoire en dehors du royaume de France.
Partout, alors que princes et seigneurs de guerre s'affrontent, François Ier, lui, règne en maître absolu sur le plus vaste et riche des royaumes, agrandi au gré de diverses conquêtes. Il ambitionne même à présent de s'emparer de la couronne impériale des Habsbourg, encore portée par Charles Quint.
Toutefois, un homme est prêt à tout pour l'arrêter. Le condottiere Sforza, qui n'a pas digéré la prise du Milanais, prend la tête d'une armée de mercenaires hétéroclites dans le but de mettre la main sur la mystérieuse machine et de la détruire.
Né le 23 août 19701 à Besançon, Johan Héliot est un écrivain français de science-fiction également professeur d'histoire-géographie dans la Haute-Saône. Cette passion pour l'Histoire se retrouve dans sa bibliographie, puisque l'auteur n'a de cesse au cours de sa carrière de s'en inspirer (fantasy historique) ou de jouer avec (uchronie).
Une Bangalore du futur, rebaptisée Apex City.
Une société fracturée entre les riches vivant une vie entièrement numérique à travers leurs avatars, et les très pauvres, les « Dix-Pour-Cents » restant de la population, relégués de l'autre côté du champ de force, reclus dans des modules d'habitation indignes.
Une femme, la « Voleuse Dix Pour Cents », dérobe une graine... et le changement peut commencer.
« Un livre fantastique... Un roman composé comme une mosaïque virtuose qui jongle avec les thèmes de la conformité sociale, de l'enjeu climatique, de la cupidité des entreprises, de ce qu'est être rebelle dans un âge et un monde numérique. Vous allez basculer dans ce fascinant monde dystopique sans même vous en rendre compte. »
Le Washington Post
« L'arrivée fracassante d'un talent majeur - un des livres essentiels de l'année !
Analog/Virtuel donne un avant-goût de cette littérature de l'imaginaire passionnante, imaginative et provocante qui émerge actuellement d'Inde. »
Locus Mag
2045. Le monde suffoque sous la chaleur, les IA contrôlent votre taux d'alcoolémie avant de vous servir dans les bars et les clones font partie de programmes nationaux pour recréer des personnages historiques célèbres.
Après la fuite de trois clones historiques du programme britannique, Marie apprend brutalement qu'elle est un clone de Marie Curie. Son père est alors accusé de clonage illégal et emprisonné. Afin de l'innocenter, Marie s'enfuit à l'aide de son double. Poursuivie sans relâche par les services secrets britanniques, elle découvre la terrible réalité de l'élevage des clones en Grande-Bretagne.
Un dilemme va alors se poser à Marie : accepter de rejoindre leurs rangs contre la libération de son père, ou se dresser contre ce système d'exploitation, quitte à sacrifier sa famille.