Dans une dimension lointaine et passablement farfelue, un monde se balade à dos de quatre éléphants, eux-mêmes juchés sur la carapace de la Grande Tortue... Oui, c'est le Disque-monde... Les habitants de la cité d'Ankh-Morpork croyaient avoir tout vu. Et Deuxfleurs avait l'air tellement inoffensif, bonhomme chétif, fidèlement escorté par un Bagage de bois magique déambulant sur une myriade de petites jambes. Tellement inoffensif que le Patricien avait chargé le calamiteux sorcier Rincevent de sa sécurité dans la cité quadrillée par la Guilde des Voleurs et celle des Assassins ; mission périlleuse et qui devait les conduire loin : dans une caverne de dragons ; peut-être jusqu'au rebord du Disque. Car Deuxfleurs était d'une espèce plus redoutable qu'on ne l'imaginait : c'était un touriste... À la lumière de l'octarine, la huitième couleur, celle de la magie, découvrez l'univers fantastique et cocasse de Terry Pratchett.
« Vous auriez de très jolis pieds si vous en preniez soin, dit la vierge Bethan. - Ch'est bien aimable à toi, répondit Cohen le Barbare. Mais des pédicures j'en rencontre pas chouvent dans ma profechion. » Octogénaire, borgne, chauve, édenté, Cohen, le plus grand héros de tous les temps réussira-t-il à tirer Deuxfleurs et Rincevent des griffes de leurs poursuivants ? Car une étoile rouge menace de percuter le Disque-monde, dont la survie repose sur le sorcier calamiteux : dans son esprit brumeux se tapit le Huitième Sortilège... Avec une distribution prestigieuse dans les seconds rôles : le Bagage, l'In-Octavo, Herrena la Harpie, Kwartz le troll, Trymon l'enchanteur maléfique et, naturellement LA Mort. Une aventure fantastique sans précédent. Ou peut-être une gigantesque fumisterie, plus encore que La Huitième Couleur.
Sentant venir sa mort prochaine, le mage Tambour Billette organise le legs de ses pouvoirs, de son bourdon, de son fonds de commerce. Nous sommes sur le Disque-monde (Vous y êtes ? Nous y sommes.) La succession s'y opère de huitième fils en huitième fils. Logique. Ainsi procède le mage. Puis il meurt. Or il apparaît que le huitième fils en cause est... une fille. Stupeur, désarroi, confusion : jamais on n'a vu pareille incongruité. Trop tard ; la transmission s'est accomplie au profit de la petite Eskarina. Elle entame son apprentissage sous la houlette rétive de la sorcière Mémé Ciredutemps... Après La Huitième Couleur et Le Huitième Sortilège... Vous en redemanderez.
Morty traverse les champs en courant ; il mouline des bras et s'égosille comme un beau diable. Non. Même ça, même effrayer les oiseaux pillards, il n'est pas fichu de s'en tirer proprement. Son père, au désespoir, l'observe depuis le muret de pierres. « Il manque pas de coeur, fait-il à l'oncle Hamesh. - Ah, dame, c'est le reste qu'il a pas. » Et pourtant un destin hors du commun attend Mortimer. Car à la foire à l'embauche, LA MORT l'emporte sur son cheval Bigadin. Il faut dire que LA MORT a décidé de faire la vie ; et l'assistance d'un commis dans son labeur quotidien lui permettrait des loisirs. Mais... Est-ce bien raisonnable ? Avec, comme toujours, un scénario qui décoiffe, une distribution prestigieuse et, peut-être, peut-être, une exceptionnelle apparition de l'illustre Rincevent.
Glissez-vous dans l'intimité d'un troll le temps de quatre aventures qui font trembler la terre jusqu'aux tréfonds des mines les plus obscures.
Bien sûr, pour cela, vous allez devoir franchir les falaises du Désespoir, affronter les périls du col des Assassins et vous enfoncer dans les marais de la Mort sinueuse, mais ne vous inquiétez pas : après, c'est fléché. Et, avant, mieux vaut savoir que, s'il faut qu'un troll s'habille pour une occasion spéciale, il convient de le prévenir dix ans à l'avance.
Surtout, n'oubliez jamais que l'eau ferrugineuse est un fléau qui ravale le troll au rang de l'homme. Alors, vous qui entrez ici, laissez toute espérance ainsi que vos affaires personnelles au vestiaire. Et n'oubliez pas de rapporter vos notes de frais.
Ayerdhal.
« L'Instinct du troll est une fantasy humoristique pleine d'anachronismes qui fait évidemment penser aux "Annales du Disque-Monde" de Terry Pratchett et à la trilogie de Catherine Dufour "Quand les dieux buvaient". » - Bifrost
La magie, c'est de la bouillie pour les chats. Car voici la sourcellerie, la puissance thaumaturgique de l'Aube des Temps ! Elle pénètre le Disque-monde par l'entremise du huitième fils d'un mage (défroqué, oui). Disons-le tout net : casse-cou. Une fois de plus, faudra-t-il compter sur l'ineffable Rincevent pour sauver les meubles ? Il est vrai que l'homme a plus d'un tour dans son sac percé. Il dispose aussi d'une équipe de choc, où vous retrouverez le mystérieux et pusillanime Bagage - tellement humain ! - et le subtil bibliothécaire de l'université des mages - tellement simiesque ! Avec, pour la première fois dans un livre, Nijel le Destructeur, jeune héros par correspondance, et Conina, la fille du plus célèbre barbare, par qui tombent les coeurs et les coups. Prime exotique : un séjour inoubliable dans la cité d'Al Khali, sous la houlette du Sériph Créosote.
Un trouble malaise s'est emparé du Causse. Les chouettes et les renards le perçoivent, et Tiphaine Patraque aussi à travers ses chaussures. Un vieil ennemi rassemble ses forces. Or, comme le dit la kelda des Nac mac Feegle, « le vwale est fragile entre les mondes et se daekire facilmaet. »
C'est un temps de déclins et de recommencements, d'anciens et de nouveaux amis, et de frontières incertaines. Un temps où le fardeau de la succession s'abat sur une jeune sorcière désormais appelée à se tenir entre la lumière et les ténèbres.
La horde des fées prépare son invasion, et Tiphaine devra battre le rappel de toutes les sorcières pour protéger le pays.
Son pays.
Ça sent le règlement de comptes...
Le dernier roman du Disque-monde.
« Le vent hurlait. La foudre lardait le pays comme un assassin maladroit... La nuit était aussi noire que l'intimité d'un chat. Une de ces nuits, peut-être, où les dieux manipulent les hommes comme des pions sur l'échiquier du destin. Au coeur des éléments déchaînés luisait un feu, telle la folie dans l'oeil d'une fouine. Il éclairait trois silhouettes voûtées. Tandis que bouillonnait le chaudron, une voix effrayante criailla : "Quand nous revoyons-nous, toutes les trois ?" Une autre voix plus naturelle, répondit : "Ben moi, j'peux mardi prochain." » Rois, nains, bandits, démons, héritiers du trône, bouffons, trolls, usurpateurs, fantômes, histrions et tables tournantes : rien ne vous est épargné. Shakespeare n'en aurait pas rêvé tant. Ou peut-être si ? Avec, en exclusivité, le ravitaillement en vol d'un balai de sorcière.
Une société secrète d'encagoulés complote pour renverser le seigneur Vétérini, Patricien d'Ankh-Morpork, et lui substituer un roi. C'est sans compter avec le guet municipal et son équipe de fins limiers. Une affaire à la mesure du capitaine Vimaire - s'il boit, c'est pour oublier les laideurs de la vie - et de ses brillants adjoints. (« Tous pour un ! » ) Et lorsqu'on retrouve au petit jour dans les rues les corps des citoyens transformés en biscuits calcinés, l'enquête s'oriente résolument vers un dragon de vingt-cinq mètres qui crache le feu ; on aurait quelques questions à lui poser. Mais peut-être la collaboration du bibliothécaire de l'Université ne sera-t-elle pas inutile : n'arbore-t-il pas aussi une plaque de la DST (Défense simienne du territoire) ?
Assis sur un bloc de pierre, le fantôme du pharaon regardait les deux embaumeurs s'affairer sur sa dépouille. Tout compte fait, on a du mal à se réjouir du spectacle de deux artisans plongés jusqu'aux coudes dans ses entrailles. Quant aux blagues de circonstance... « Maître Aneth, dit le nouvel apprenti, ce boulot, ça remue les tripes mais qu'est-ce qu'on se boyaute ! » Car Teppicymon XXVII est mort et son fils va lui succéder. Pas facile d'hériter du trône quand on est encore un ado et qu'on vient d'achever ses études à la Guilde des Assassins... Vous voilà responsable du lever du soleil comme de l'abondance des récoltes. Et les ennuis vous guettent : vaches grasses, vaches maigres (par 7, bien entendu), sphinx, prêtres fanatiques, crocodiles sacrés et momies vagabondes. Sans compter que la Grande Pyramide a précipité le royaume dans une faille spatiotemporelle.
Or il advint qu'en ce temps-là le grand dieu Om s'adressa à Frangin, l'Élu : « Psst ! » Frangin s'arrêta au milieu d'un coup de binette et fit du regard le tour du jardin du temple. « Pardon ? » lança-t-il. C'était une belle journée du printemps prime. Les moulins à prière tournaient joyeusement dans le vent qui tombait des montagnes. En altitude, un aigle solitaire décrivait des cercles. Frangin haussa les épaules et retourna à ses melons. Le grand dieu Om s'adressa derechef à Frangin, l'Élu : « T'es sourd, mon gars ? » Une lourde responsabilité attend le jeune novice : prévenir une guerre sainte. Car il est des hérétiques, voyez-vous, pour prétendre, contrairement au dogme de l'église que le monde est plat et qu'il traverse l'univers sur le dos d'une immense tortue...
Moite von Lipwig, arnaqueur et imposteur, est contraint à faire un choix capital : être pendu ou remettre sur pied le service postal moribond d'Ankh-Morpork.Une décision épineuse.Mais il doit veiller à ce que le courrier passe, malgré la pluie, la grêle, la neige, les chiens, la Société de prévoyance et de bienfaisance des employés des postes, le président malfaisant de la Compagnie sémaphorique de l'interurbain, et un tueur nocturne.Sortir avec Adora Belle Chercoeur serait aussi bien agréable.Peut-être faut-il un filou pour réussir là où des hommes honnêtes ont échoué ; peut-être le poste équivaut-il aussi à un arrêt de mort.A moins qu'on n'assiste à une tentative de rédemption dans le monde timbré du courrier, un monde en attente d'un affranchi...
Blousé, Vimaire. Dame Sybil, son épouse aimante, lui impose quinze jours de congés à la campagne dans le manoir familial. La vie de hobereau, rien de folichon pour le commissaire divisionnaire du Guet d'Ankh-Morpork, non plus que la déférence servile qu'on lui témoigne, à lui qui tient pour article de foi que les hommes sont tous les mêmes le pantalon baissé. La tradition le veut, le flic en vacances n'a pas ouvert sa valise que le premier cadavre lui saute à la figure. Mais ce n'est pas un meurtre ordinaire qui attend Vimaire, c'est un crime contre l'existence et la dignité d'une espèce entière. Qu'importe s'il est hors de sa juridiction, si les repères lui manquent dans le monde rural et si l'on s'acharne à le mener en bateau, la justice doit passer.
Menace sur le paisible et douillet quotidien des mages : si l'Université de l'Invisible ne renoue pas avec la tradition du fouteballe, d'intolérables restrictions sont à prévoir dans leur train de vie.Il reste à former un staff et une équipe compétitifs. Par bonheur, l'université dispose, parmi le petit personnel, d'individualités remarquables. Citons Trevor Probable - inouï ce qu'on obtient d'une boîte de conserve -, Glenda, la reine des tourtes, Juliette, ravissante nunuche promise à un bel avenir dans l'univers de la mode, et le mystérieux monsieur Daingue. Qui est Monsieur Daingue ? Le sait-il lui-même ? Toujours est-il qu'on le surveille en haut lieu.Tandis que le match fatidique approche, quatre vies s'entremêlent et quatre destins basculent. Car ce qu'il faut savoir du fouteballe - ce qu'il faut savoir d'important sur le fouteballe -, c'est qu'il dépasse le cadre du fouteballe.
Mort ? Déprimé ? Envie de repartir à zéro ? Alors pourquoi ne pas venir au CLUB DU NOUVEAU DÉPART ? Tous les mardis, minuit, 668, rue de l'Orme. OUVERT À TOUS TENUE DE SUAIRE NON EXIGÉE Du pain sur les quatre planches pour le défunt Raymond Soulier, activiste résolu : fantômes, vampires, zombis, banshees, croque-mitaines... les morts vivants se multiplient. Car une catastrophe frappe le Disque-monde : la Mort est porté disparu (oui, la mort est mâle, un mâle nécessaire). Il s'ensuit un chaos général tel qu'en provoque toujours la déficience d'un service public essentiel. Tandis que dans les champs d'une ferme lointaine, un étrange et squelettique ouvrier agricole manie la faux avec une rare dextérité. La moisson n'attend pas...
Le royaume de Lancre au coeur des montagnes du Bélier. Si petit. Tout juste s'il ne faut pas un passeport pour s'allonger. Retour de voyage, trois soeurcières y retrouvent leurs pénates, dont l'une, Magrat, pour épouser le roi Vérence. Les noces approchent. Tout devrait se passer comme dans un songe de nuit d'été. Si l'imprudence des uns et des autres ne risquait d'ouvrir le monde au retour des Seigneurs et Dames. Des Nobliaux. Des Lumineux... Les elfes sont si beaux, si gueulamour. Les elfes sont cruels. Ils prennent tout. Et ils offrent la peur en échange. Autour des trois soeurcières à la peine, une affiche exceptionnelle avec notamment : l'archichancelier Mustrum Ridculle, le bibliothécaire de l'Université (« Oook ! » ) et le deuxième grand amant du monde, Giamo Casanabo.
Une mission de tout repos pour trois sorcières de haut vol (Air Balai) : empêcher les épousailles d'une servante et d'un prince. Pas de quoi impressionner Mémé Ciredutemps, Nounou Ogg et Magrat Goussedail. Oui, mais : 1. Ça se passe à l'étranger (beurk !), dans la cité lointaine de Genua. 2. Que faire d'une baguette magique de seconde main qui ne sait que transformer les choses en citrouille ? 3. Comment s'opposer au pouvoir irrésistible des contes s'ils sont manipulés par la redoutable « bonne fée » Lilith ? N'est-ce pas le merveilleux destin d'une servante que d'épouser le prince ? Comme celui des mères-grands de se faire dévorer par le loup ? Tel n'est pourtant pas l'avis de madame Gogol, la sorcière vaudou des marais de Genua. « enco an piti zassiette di gombo, ma chè ? »
Faust, vous connaissez ?... Mais voici Éric, quatorze ans, le plus jeune démonologue du Disque-monde. Hélas, aucun démon - ni succube, hum... - ne répond à son invocation. Dans le cercle magique apparaisse Rincevent et le Bagage - respectivement le mage le plus incompétent et l'accessoire de voyage le plus redoutable de l'univers. Et que veut Éric ? Oh, rien de bien original : l'immortalité, la domination du monde et la plus belle femme de tous les temps. Ce qui entraîne la fine équipe dans un périple étourdissant, de l'empire tézuma des adorateurs de Quetzduffelcoatl, le boa de plumes, aux rivages de Tsort où les Éphébiens guerroient pour sauver la belle Éléonor... Jusqu'à l'aube des temps et la création du monde... Et jusqu'aux enfers, où règne Astfgl, le roi-pédégé de tous les diables. Y a-t-il d'autres romans pour vous en offrir tant ?
La nuit du père Porcher...Neige, rouges-gorges, chorales et sapins décorés...Mais le gros bonhomme de rouge vêtu, celui qu'on attend en cette nuit de fête... a disparu.En lieu et place, faisant fonction, un autre bonhomme de rouge vêtu, dans son traîneau tiré par des cochons sauvages, avec sa hotte, sa fausse barbe et son oreiller pour simuler un ventre qu'il n'a pas. Un bonhomme plus habitué à manier la faux qu'à descendre dans les cheminées distribuer des jouets par milliers.Mais quand le devoir appelle...Car certains préméditent l'assassinat du père Porcher. Et s'ils arrivent à leurs fins...... le soleil ne se lèvera pas.
L'esprit de l'hiver s'est épris de Tiphaine Patraque. Il lui offre des icebergs, se déclare par des avalanches et la couvre de flocons - témoignages d'amour un peu rudes pour une apprentie sorcière de treize ans, mais qui ne manquent pas de... fraîcheur.« Miyards ! »Ah! oui, et revoici les Nac mac Feegle, les ch'tits hommes libres, venus donner un coup de main, que ça lui plaise ou non. Car si Tiphaine ne fait pas entendre raison à son soupirant, il n'y aura plus jamais de printemps.
La manivelle tourne... Et les diablotins se décarcassent dans la boîte à images. Car un alchimiste d'Ankh-Morpork a découvert la magie des images animées. Une activité fébrile s'empare d'une colline déserte au bord de l'océan : Olive-Oued. « Du friçon ! De l'aventure ! Avec les étoiles **Victor Marasquino** et **Delorès de Vyce** Et avecque mille éléfants ! Une daibauche de passionne et de grands aiscaliers sur fond d'hystoire tumulte-tueuse : QUAND S'EMPORTE LE VENT D'AUTAN. » « Après le pestacle, l'Antre à Côtes de Harga vous attend. Sa cuisine gaz trop gnomique. » Mais les rêves d'Olive-Oued cachent un noir mystère qui menace le Disque-monde. Il était une fois à Olive-Oued...
« Engagez-vous dans un métier d'homme ! Le Guet municipal a besoin d'hommes ! » Mais le Guet de nuit se retrouve à la tête d'une force comprenant le caporal Carotte (techniquement un nain), l'agent Bourrico (réellement un nain), l'agent Détritus (un troll), l'agent Angua (une femme... la plupart du temps) et le caporal Chicque (mis au ban de touche de l'humanité pour tacles dangereux). Or le mal est à pied d'oeuvre, il y a du meurtre dans l'air et du vilain dans les rues. Et il vaudrait mieux que l'affaire se règle avant midi, heure à laquelle le capitaine Vimaire prend officiellement sa retraite, rend sa plaque et se marie. Comme il s'agit d'Ankh-Morpork, à midi pétant, ça promet de sentir drôlement mauvais.
Quand un jeune homme de lettres, Guillaume des Mots, rencontre l'inventeur de l'imprimerie moderne, le nain Bonnemont, le premier journal d'Ankh-Morpork paraît : Le Disque-MondeLa presse d'investigation est née.Et si le Patricien est accusé de meurtre, si le Guet patine et si MM. Lépingle et Tulipe, médiateurs à gages d'une organisation occulte de comploteurs, sévissent dans la cité, le journaliste doit payer de sa personne. Entre un vampire iconographe à la fascination suicidaire pour le flash, la concurrence peu loyale d'une presse poubelle et la grogne du commissaire Vimaire, Guillaume part en quête de la vérité. Laquelle peut blesser et même tuer.
C'est un homme comblé que le duc Sam Vimaire, commissaire divisionnaire du Guet d'Ankh-Morpork, heureux père bientôt. Hélas ! la poursuite d'un dangereux criminel entraîne un accident qui le ramène dans son propre passé, en un temps de tumulte et de violence.Vivre dans le passé n'est pas facile mais y mourir étonnamment simple. Il doit pourtant survivre car des tâches essentielles l'attendent : mettre le grappin sur un meurtrier, s'instruire lui-même, débutant, pour devenir un bon flic et changer l'issue d'une rébellion sanglante.À l'assaut des paradoxes temporels, un « conte d'une ville » façon Disque-monde, avec sa collection de gavroches, de dames à l'affection négociable (« L'amour au juste prix ! »), de rebelles, de policiers de la Secrète et autres enfants de la révolution.