Fondée en 1967 par des universitaires, des journalistes et quelques industriels, l'Association pour la liberté économique et le progrès social a pour tâches, d'après l'article 2 de ses statuts : d'étudier l'ensemble des conditions qui permettent aux sociétés humaines de vivre dans la liberté, et de progresser de manière continue au profit de tous ; d'affirmer et de diffuser, dans l'opinion, les principes et les thèses d'un libéralisme actuel et d'avenir. L'actualité du libéralisme n'est plus à démontrer. Les doctrines traditionalistes sont dépassées et les derniers régimes qu'elles ont inspirés ont disparu récemment. Le collectivisme centralisé et planificateur a échoué. Il aboutit à la suppression totale des libertés, et il se trouve ainsi en contradiction absolue avec sa propre idéologie. Le socialisme autogestionnaire n'est encore qu'une médiocre résurgence de l'anarchisme. En face de ces échecs, le libéralisme est la seule conception cohérente d'hommes vivant libres dans une société organisée. Mais le libéralisme est, par définition, une doctrine d'évolution. On doit trouver une formule pour chaque époque et chaque pays. C'est à cet effort d'analyse et de réflexion que se consacre l'ALEPS.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Après « L'insomnie » et « Chronos ou L'expropriation » (tous deux primés par l'Académie Française), Michel Mouligneau nous propose « Le rejeton », son troisième roman. Écrit délibérément avec une grande économie d'effets, ce livre émouvant est de nature à captiver le lecteur qui a du coeur... à l'âme !
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Fondée en 1967 par des universitaires, des journalistes et quelques industriels, l'Association pour la liberté économique et le progrès social a pour tâches, d'après l'article 2 de ses statuts : d'étudier l'ensemble des conditions qui permettent aux sociétés humaines de vivre dans la liberté, et de progresser de manière continue au profit de tous ; d'affirmer et de diffuser, dans l'opinion, les principes et les thèses d'un libéralisme actuel et d'avenir. L'actualité du libéralisme n'est plus à démontrer. Les doctrines traditionalistes sont dépassées et les derniers régimes qu'elles ont inspirés ont disparu récemment. Le collectivisme centralisé et planificateur a échoué. Il aboutit à la suppression totale des libertés, et il se trouve ainsi en contradiction absolue avec sa propre idéologie. Le socialisme autogestionnaire n'est encore qu'une médiocre résurgence de l'anarchisme. En face de ces échecs, le libéralisme est la seule conception cohérente d'hommes vivant libres dans une société organisée. Mais le libéralisme est, par définition, une doctrine d'évolution. On doit trouver une formule pour chaque époque et chaque pays. C'est à cet effort d'analyse et de réflexion que se consacre l'ALEPS.
Après « L'insomnie » et « Chronos ou L'expropriation » (tous deux primés par l'Académie Française), Michel Mouligneau nous propose « Le rejeton », son troisième roman. Écrit délibérément avec une grande économie d'effets, ce livre émouvant est de nature à captiver le lecteur qui a du coeur... à l'âme !
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L'Éthiopien est le plus pauvre des habitants du Tiers Monde. L'État éthiopien, un des plus anciens de la planète, sinon le plus ancien des contemporains, est assiégé de forces hostiles, dont l'offensive continue se renouvelle depuis un millénaire. Critiquée par l'opinion humanitaire pour des opérations menées de façon dramatique, l'Éthiopie a besoin autant de l'aide alimentaire occidentale, que des armes de l'URSS qui est incapable de la nourrir. Tout a commencé avant notre ère, par un choix géographique : un noyau central en haute-montagne, disposant d'un hinterland commercial dans le bas-pays et d'une façade maritime. Ce grand dessin géopolitique a conditionné, de façon permanente, l'existence de l'État à travers plusieurs projets historiques, menés hier par le « trône et l'autel », aujourd'hui par l'État centralisé et l'idéologie collectiviste. La Révolution agraire de 1974-1980, à travers une histoire dramatique, a globalement soulagé la paysannerie ; mais, en 1980, le poids de l'État s'est de nouveau alourdi, par la mise en place d'un secteur collectif de production aux médiocres résultats. À propos d'un pays du Tiers Monde, cet ouvrage participe au débat sur les relations entre cultures-État-développement. La densité historique d'une culture nationale a armé ici un État, dont l'ambition a été un dessin géopolitique, et non le bien-être de ses sujets.
L'Association pour le Développement des Libertés Fondamentales a pour but de contribuer à créer en France un foyer mondial de diffusion des informations et des connaissances sur les droits de l'homme et les libertés. Profondément convaincue que nul être humain ne peut véritablement faire progresser le respect de ses droits et de ses libertés que s'il lui est d'abord permis de progresser lui-même dans la connaissance de ces droits et de ces libertés, l'ADLF propose à tout homme libre de l'aider à mettre à la disposition de tout homme moins libre les informations et les connaissances nécessaires à ce progrès.
- Pourquoi luttez-vous pour les droits de l'homme ? - Parce que les droits de l'homme sont violés. - Depuis quand ? - Depuis toujours. - Par qui ? - Par tout le monde. - Pourquoi ? - Pour le pouvoir. - (Après un temps) Les religions, c'est aussi le pouvoir ? - Non. C'est l'amour et la paix, en principe. - Mais j'ai beau regarder, je ne vois autour de moi que peu d'amour et pas de paix. (Un temps) Est-ce que les religions sont coupables ? -Ceux qui tuent en leur nom seulement. - Faut-il les dénoncer quand même ? - Les religions, non. Les assassins, oui.
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Les « mélanges » sont d'ordinaire un ensemble de textes réunis et dédiés à un maître par ses amis, ses disciples, un recueil de travaux le plus souvent récapitulatifs, bref, une sorte d'aboutissement, de point d'arrivée. Le présent ouvrage constitue au contraire comme la photographie en format réduit de ce que nous voudrions que devienne, au fil des années et avec ses deux cents titres prévus, notre Bibliothèque des droits de l'homme et des libertés fondamentales, dont la pluridisciplinarité s'exprimera non plus comme ici d'un article à l'autre, mais bien plutôt d'un ouvrage ou même d'une collection à l'autre.
Pour résumer, le simple citoyen, les gens ordinaires comme aimait à les qualifier George Orwell dans son oeuvre, qui n'ont pas forcément une carte de presse, remettent en cause le quatrième pouvoir traditionnel pour en fonder un cinquième, celui des individus, car ils sont tous devenus un média.
Depuis 1982, la dette des pays en développement n'a pas quitté la scène de l'actualité. Après les matières premières et l'énergie, la finance apparaît désormais comme un enjeu central, un axe autour duquel s'articule la réflexion sur le devenir des pays en développement et du système international. La crise de la dette reflète-t-elle l'échec des modèles de développement ? Est-elle le symptôme d'une transformation fondamentale de l'économie mondiale ? Tels sont les principaux thèmes du colloque organisé par la Fondation Liberté Sans Frontières avec la participation de spécialistes reconnus : Y. Berthelot, A. Bressand, E. Durán, M. Fouquin, Y. Franchet, C. Goldfinger, P. Guillaumont, M. Ikonicoff, D.C. Lambert, R.W. Lombardi. Comme toute crise, la crise de la dette joue un rôle révélateur. Elle est l'occasion de réévaluer les stratégies de développement à la lumière de l'expérience passée et des mutations économiques.
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