À la découverte de l'inconscient !Souvent caricaturée, la discipline fondée par Freud il y a plus d'un siècle demeure mystérieuse. Comme la médecine, elle est à la fois une discipline à vocation scientifique et une pratique thérapeutique. Mais la psychanalyse n'a jamais prétendu tout comprendre ni tout guérir. Psychologie des profondeurs, elle nous permet de dévoiler le sens caché de nos rêves, de nos fantasmes, de nos actes, y compris les plus absurdes. Ainsi, elle aide à mieux vivre ceux et celles que les aléas de l'existence ont écrasés de tout leur poids.
La collection "pour les Nuls" propose un tour d'horizon de la psychanalyse à travers 200 notions clés illustrées, pour tout comprendre.
Il était une fois l'inconscient...
Souvent caricaturée, la discipline fondée par Freud il y a plus d'un siècle demeure mystérieuse. Comme la médecine, elle est à la fois une discipline à vocation scientifique et une pratique thérapeutique. Mais la psychanalyse n'a jamais prétendu tout comprendre ni tout guérir. Psychologie des profondeurs, elle nous permet de dévoiler le sens caché de nos rêves, de nos fantasmes, de nos actes, y compris les plus absurdes. Ainsi, elle aide à mieux vivre ceux et celles que les aléas de l'existence ont écrasés de tout leur poids. Percer le mur des apparences, partir à la découverte de soi ¬: c'est à cette formidable aventure que vous êtes convié. La Psychanalyse pour les Nuls a pour ambition d'offrir dans une présentation et un style accessibles à tous une approche de la psychanalyse à travers toutes ses dimensions. Ce livre en retrace l'histoire et définit ses concepts clés. Il répond aux principales critiques dont la psychanalyse fait l'objet. Enfin, il décrit le déroulement d'une analyse et la manière de choisir son psy.
Comme le dit Jean-Paul Daoust dans son texte de présentation, « le parfum sert de fil d'Ariane » pour ce numéro thématique qui a inspiré plus d'une trentaine de poètes et écrivains. Qu'il soit une « capture de la fuite » (Monique La Rue), une fragrance de grande maison parisienne (Claire Dé) qui peut tout à coup se transformer en « odeur de salon funéraire » (Louise Dupré), le parfum fait se réveiller en nous toute une palette de sensations : la lenteur des jours qui se suivent (Pénélope Bourque), une nostalgie de l'enfance (Herménégilde Chiasson), des révoltes parricides (André Carrier) ou encore des brûlures océanes (Madeleine Monette)... Un numéro qui, à l'instar de son thème, transportera le lecteur dans un voyage riche en contrastes.
C'est en mode bilan, comme chaque fin d'année, que se présente le numéro de décembre-janvier de 24 images. La rédaction y présente son palmarès annuel, qu'elle a d'ailleurs fait passer de 10 à 15 titres jugeant que la qualité des productions était trop grande pour se limiter à dix. De plus, la rédaction avait envie de soutenir plus de 10 films et d'inclure une plus grande variété de propositions. Pour parer à d'éventuelles récriminations, elle précise que son palmarès est davantage celui des films vus par la rédaction qu'un réel palmarès annuel, mais qu'intitulé leur numéro « bilan septembre-octobre-novembre-début décembre 2017 » leur semblait beaucoup moins vendeur... « Des films modestes, mais grandioses. » voilà ce qui résume leur bilan. Le film occupant leur première place, The Florida Project, est d'ailleurs de cette trempe. Le numéro souligne aussi la vitalité d'un certain cinéma de genre, l'arrivée au long-métrage de jeunes talents québécois prometteurs et la grande forme de vétérans.
En réponse à l'incertitude actuelle, la revue 24 images a décidé de concevoir en urgence ce numéro spécial consacré à ce qui nous manque depuis plusieurs mois: la possibilité de vivre une expérience collective du cinéma, dans les salles. Les voix de la revue ont ainsi laissé la place à celles de différentes personnalités du cinéma et de la littérature. Entre expériences de jeunesse inoubliables et rencontres marquantes, projections en solitaire et souvenirs de premières ou de festivals, éveils sexuels ou politiques, films fétiches et séances anarchiques, la diversité des témoignages témoigne d'un amour inconditionnel du cinéma et de la salle. En filigrane, quelques questionnements : « Mais que deviendrions-nous si le web devenait notre seule et unique porte d'accès aux films ? Ou, pour préciser les choses dans le contexte actuel : le cinéma en ligne est-il encore du cinéma ? » (Bruno Dequen) Retrouvez également des bandes dessinées de Jimmy Beaulieu, Catherine Ocelot et Julie Delporte. Michel Rabagliati signe l'illustration de la couverture.